sur le replis#3

Publié le par ap



Cult, 11-2009

Publié dans atelier

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P
<br /> C'est dans les plis qu'on vit.<br /> <br /> <br />
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A
<br /> Ces encres sont (quasi)-automatiques avec, comme contrainte acceptée - contrairement à la peinture - de ne pouvoir revenir<br /> (recouvrir) ; ou presque pas : sinon à « boucher » par les noirs.<br /> <br /> Série est réalisée sur une après-midi (et tant que le papier est disponible). Pas de projet, pas d’intention de départ,<br /> seulement le besoin  (!?) de « laisser venir » la construction (échafaudage appuyé sur les réserves) dans une suite de gestes ininterrompus : la ligne est lancée et tout ce<br /> qui vient est accepté comme conséquence de l’image : dérapages (plus ou moins) contrôlés. Le dessin est  tenu par ses lacunes. Replis sur les blancs. parfois, des figures ou « des<br /> sujets anciens » remontent et orientent (ou bloquent) le processus.<br /> <br /> <br /> Pour la peinture, c’est différent : tout geste est d’abord posé (admis) comme un recouvrement– même si les dernières<br /> gouaches n’autorisent pas, comme pour les huiles, toutes « les reprises » –. La peinture couvre et "revient." Strates comme possibilités d’ajustements?<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />
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G
<br /> Ce que tous ces replis montrent, - en regardant les trois séries en continuité- c'est qu'au fond, la couleur doit affleurer puis éclater. Un autre mouvement d'épuration est souvent rendu, qui<br /> conduit au noir et blanc. Ici, non, me semble-t-il...le parcours exige la matière graphique rendue en ses couleurs.<br /> <br /> <br />
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