cliché 5

Publié le par ap


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Le reflet du cadran de la montre,

oeil qui éclaire le corps allongé,

dans la douceur de la pénombre,

des hautes herbes qui bordent le canal.

Sait-il la promeneuse, tache blanche

glissant sur le chemin de hallage,

là-bas, sous la herse des peupliers.

 

Coïncidence des lignes qui ploient et plient

l’espace rectangulaire,

et relient,

par l’axe verticale du tronc à l’étrave,

le désir au repos.

Publié dans notes sur clichés

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